Le coup de coeur ciné de la semaine : Astérix aux Jeux Olymp

Le coup de coeur ciné de la semaine : Astérix aux Jeux Olympiques











Six ans après ses aventures en Egypte, le plus célèbre des Gaulois est de retour ! La bande dessinnée de René Goscinny et Albert Uderzo n'a rien perdu de son charme et c'est cette fois Astérix aux Jeux Olympiques qui est porté à l'écran.
Le film réussit à être différent des deux précédents volets: vrai récit
d'aventures, il se concentre sur l'action et les épreuves sportives. En
effet, Astérix et ses amis quittent leur paisible village pour
participer aux Jeux Olympiques, dans la ville grecque d'Olympie.
Pourquoi ? Car c’est le seul moyen pour le bel Alafolix d’épouser la
princesse Irina. Bien décidés à aider leur ami, nos Gaulois vont
croiser la route de Jules César et de son fils Brutus, qui veut lui
aussi gagner les Jeux Olympiques pour épouser la princesse.
Voici donc un vrai spectacle à la française, qui mêle les gags, les vannes et les séquences spectaculaires. Clovis Cornillac reprend le rôle d'Astérix, Gérard Depardieu conserve celui d'Obélix et une brochette de stars vient les épauler: Alain Delon en Jules César, Benoît Poelvoorde dans la peau de Brutus, Franck Dubosc
dans le rôle du barde Assurancetourix, Vanessa Hessler (la fameuse
Alice de la publicité) dans le rôle de la Princesse, mais aussi Stéphane Rousseau (son interview pour Ados est ici), Alexandre Astier (son interview pour Ados est ici ), Elie Semoun, Danny Brillant ou Francis Lalanne.
Et, cerise sur le gâteau, les stars sportives Zinedine Zidane, Amélie Mauresmo et Tony Parker viennent participer à la séquence finale, aux côtés de Jamel Debbouze !
Les raisons d'y aller:
-Pour le drôle de duo père-fils que forment le belge Benoît Poelvoorde et le légendaire Alain Delon.

-Pour l'impressionnante scène de la course de chars, dans laquelle apparaît Michaël Schumacher.
-Pour la performance du Québecois Stéphane Rousseau dans le rôle du romantique Alafolix.