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Budget 2008: 22.900 fonctionnaires non remplacés, légère réd
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Budget 2008: 22.900 fonctionnaires non remplacés, légère réd
Budget 2008: 22.900 fonctionnaires non remplacés, légère réduction du déficit
Le
gouvernement a dévoilé mercredi son budget , le premier du quinquennat
, prévoyant le non-remplacement de quelque 22.900 postes de
fonctionnaires et sans pouvoir faire mieux que de stabiliser les
déficits en raison du coûteux paquet fiscal voulu cet été par le
président Nicolas Sarkozy.
Le projet de loi de
finances (PLF) 2008 présenté en Conseil des ministres prévoit un
déficit de l'Etat de 41,7 milliards d'euros, en très légère
amélioration seulement par rapport à celui programmé par la loi de
finances 2007 (41,996 milliards).
"On est en
légère réduction, ça veut dire qu'on n'est pas loin de la stabilité", a
reconnu le ministre du Budget, Eric Woerth, en saluant "un budget
d'investissement et d'avenir".
Quant à la dette, l'objectif du gouvernement est de la ramener à 64,0% du PIB en 2008, après 64,2% prévu en 2007.
Le
déficit public (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales), qui
constitue lui aussi l'une des principales références de l'Union
européenne pour évaluer la gestion des Etats-membres, est évalué à 2,3%
du PIB en 2008 après 2,4% prévu en 2007, et 2,5% en 2006.
Selon
M. Woerth, le surcroît de recettes fiscales attendues l'an prochain,
environ 18 milliards d'euros, sera "investi massivement dans la baisse
des prélèvements", à hauteur des deux tiers, afin de baisser de 0,3
point le taux de prélèvements obligatoires, à 43,7% du PIB.
Le
coût global du "paquet fiscal" voté cet été est évalué à lui seul à 8,9
milliards d'euros, dont 5,1 milliards pour l'exonération de cotisations
sociales des heures supplémentaires.
L'élargissement
du crédit impôt recherche se traduira par un coût de 800 millions l'an
prochain. Le coût de l'abaissement du plafond de la taxe
professionnelle, qui prend son plein effet l'an prochain, est évalué à
2,9 milliards d'euros.
Au total, les dépenses de l'Etat se montent à 271,8 milliards d'euros.
M.
Woerth a défendu "un effort très supérieur en termes de maîtrise des
dépenses publiques" pour l'an prochain, rappelant qu'elles
n'augmenteraient pas plus que le rythme de l'inflation (1,6%), soit
d'environ 5,5 milliards d'euros.
Selon lui, la
quasi intégralité de cette marge de manoeuvre sera selon lui absorbée
par les pensions (2 milliards supplémentaires), la charge des intérêts
de la dette (1,6 milliard supplémentaire) et divers dispositifs sociaux
gérés par la Sécurité sociale (1,2 milliard).
Le
reste des dépenses connaît une progression "zéro" en valeur, soit un
montant identique par rapport à 2007, a affirmé M. Woerth, selon qui il
a fallu "beaucoup de redéploiements pour permettre de financer quelques
priorités".
La première d'entre elles est,
comme annoncé, l'enseignement supérieur et la recherche, un poste qui
progresse de 1,8 milliard d'euros. Suivent la justice (1.615 créations
de postes, 6,52 milliards de crédits) et l'Education nationale (59,26
milliards de crédits à la mission "enseignement scolaire"), bien que ce
ministère perde 11.200 postes.
Le PLF inclut
le non remplacement de quelque 22.900 postes de fonctionnaires partant
à la retraite (sur environ 69.000), une économie évaluée à 458 millions
d'euros pour 2008, et une baisse du nombre des "emplois aidés", qui
passent de 260.000 à 230.000.
Côté recettes,
les contribuables auront la possibilité d'opter pour un prélèvement
libératoire forfaitaire de 16% sur les dividendes d'actions, qui
rapportera 600 millions d'euros.
Le PLF 2008
est bâti sur une hypothèse de croissance comprise entre 2% et 2,5%, la
même qu'en 2007. Une hypothèse "légitime" comparée aux prévisions du
FMI (2,4%), de la Commission européenne (2,3%) et de l'OCDE (2,2%), a
insisté la ministre de l'Economie Christine Lagarde.
Le
gouvernement a dévoilé mercredi son budget 2008, le premier du
quinquennat, sans pouvoir faire mieux que de stabiliser les déficits en
raison du coûteux paquet fiscal voulu cet été par le président Nicolas
Sarkozy.
Le projet de loi de finances (PLF)
2008 présenté en Conseil des ministres prévoit un déficit de l'Etat de
41,7 milliards d'euros, en très légère amélioration seulement par
rapport à celui programmé par la loi de finances 2007 (41,996
milliards).
"On est en légère réduction, ça
veut dire qu'on n'est pas loin de la stabilité", a reconnu le ministre
du Budget, Eric Woerth, en saluant "un budget d'investissement et
d'avenir".
Quant à la dette, l'objectif du gouvernement est de la ramener à 64,0% du PIB en 2008, après 64,2% prévu en 2007.
Le
déficit public (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales), qui
constitue lui aussi l'une des principales références de l'Union
européenne pour évaluer la gestion des Etats-membres, est évalué à 2,3%
du PIB en 2008 après 2,4% prévu en 2007, et 2,5% en 2006.
Selon
M. Woerth, le surcroît de recettes fiscales attendues l'an prochain,
environ 18 milliards d'euros, sera "investi massivement dans la baisse
des prélèvements", à hauteur des deux tiers, afin de baisser de 0,3
point le taux de prélèvements obligatoires, à 43,7% du PIB.
Le
coût global du "paquet fiscal" voté cet été est évalué à lui seul à 8,9
milliards d'euros, dont 5,1 milliards pour l'exonération de cotisations
sociales des heures supplémentaires.
L'élargissement
du crédit impôt recherche se traduira par un coût de 800 millions l'an
prochain. Le coût de l'abaissement du plafond de la taxe
professionnelle, qui prend son plein effet l'an prochain, est évalué à
2,9 milliards d'euros.
Au total, les dépenses de l'Etat se montent à 271,8 milliards d'euros.
M.
Woerth a défendu "un effort très supérieur en termes de maîtrise des
dépenses publiques" pour l'an prochain, rappelant qu'elles
n'augmenteraient pas plus que le rythme de l'inflation (1,6%), soit
d'environ 5,5 milliards d'euros.
Selon lui, la
quasi intégralité de cette marge de manoeuvre sera selon lui absorbée
par les pensions (2 milliards supplémentaires), la charge des intérêts
de la dette (1,6 milliard supplémentaire) et divers dispositifs sociaux
gérés par la Sécurité sociale (1,2 milliard).
Le
reste des dépenses connaît une progression "zéro" en valeur, soit un
montant identique par rapport à 2007, a affirmé M. Woerth, selon qui il
a fallu "beaucoup de redéploiements pour permettre de financer quelques
priorités".
La première d'entre elles est,
comme annoncé, l'enseignement supérieur et la recherche, un poste qui
progresse de 1,8 milliard d'euros. Suivent la justice (1.615 créations
de postes, 6,52 milliards de crédits) et l'Education nationale (59,26
milliards de crédits à la mission "enseignement scolaire"), bien que ce
ministère perde 11.200 postes.
Le PLF inclut
le non remplacement de quelque 22.900 postes de fonctionnaires partant
à la retraite (sur environ 69.000), une économie évaluée à 458 millions
d'euros pour 2008, et une baisse du nombre des "emplois aidés", qui
passent de 260.000 à 230.000.
Côté recettes,
les contribuables auront la possibilité d'opter pour un prélèvement
libératoire forfaitaire de 16% sur les dividendes d'actions, qui
rapportera 600 millions d'euros.
Le PLF 2008
est bâti sur une hypothèse de croissance comprise entre 2% et 2,5%, la
même qu'en 2007. Une hypothèse "légitime" comparée aux prévisions du
FMI (2,4%), de la Commission européenne (2,3%) et de l'OCDE (2,2%), a
insisté la ministre de l'Economie Christine Lagarde.
Le
gouvernement a dévoilé mercredi son budget , le premier du quinquennat
, prévoyant le non-remplacement de quelque 22.900 postes de
fonctionnaires et sans pouvoir faire mieux que de stabiliser les
déficits en raison du coûteux paquet fiscal voulu cet été par le
président Nicolas Sarkozy.
Le projet de loi de
finances (PLF) 2008 présenté en Conseil des ministres prévoit un
déficit de l'Etat de 41,7 milliards d'euros, en très légère
amélioration seulement par rapport à celui programmé par la loi de
finances 2007 (41,996 milliards).
"On est en
légère réduction, ça veut dire qu'on n'est pas loin de la stabilité", a
reconnu le ministre du Budget, Eric Woerth, en saluant "un budget
d'investissement et d'avenir".
Quant à la dette, l'objectif du gouvernement est de la ramener à 64,0% du PIB en 2008, après 64,2% prévu en 2007.
Le
déficit public (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales), qui
constitue lui aussi l'une des principales références de l'Union
européenne pour évaluer la gestion des Etats-membres, est évalué à 2,3%
du PIB en 2008 après 2,4% prévu en 2007, et 2,5% en 2006.
Selon
M. Woerth, le surcroît de recettes fiscales attendues l'an prochain,
environ 18 milliards d'euros, sera "investi massivement dans la baisse
des prélèvements", à hauteur des deux tiers, afin de baisser de 0,3
point le taux de prélèvements obligatoires, à 43,7% du PIB.
Le
coût global du "paquet fiscal" voté cet été est évalué à lui seul à 8,9
milliards d'euros, dont 5,1 milliards pour l'exonération de cotisations
sociales des heures supplémentaires.
L'élargissement
du crédit impôt recherche se traduira par un coût de 800 millions l'an
prochain. Le coût de l'abaissement du plafond de la taxe
professionnelle, qui prend son plein effet l'an prochain, est évalué à
2,9 milliards d'euros.
Au total, les dépenses de l'Etat se montent à 271,8 milliards d'euros.
M.
Woerth a défendu "un effort très supérieur en termes de maîtrise des
dépenses publiques" pour l'an prochain, rappelant qu'elles
n'augmenteraient pas plus que le rythme de l'inflation (1,6%), soit
d'environ 5,5 milliards d'euros.
Selon lui, la
quasi intégralité de cette marge de manoeuvre sera selon lui absorbée
par les pensions (2 milliards supplémentaires), la charge des intérêts
de la dette (1,6 milliard supplémentaire) et divers dispositifs sociaux
gérés par la Sécurité sociale (1,2 milliard).
Le
reste des dépenses connaît une progression "zéro" en valeur, soit un
montant identique par rapport à 2007, a affirmé M. Woerth, selon qui il
a fallu "beaucoup de redéploiements pour permettre de financer quelques
priorités".
La première d'entre elles est,
comme annoncé, l'enseignement supérieur et la recherche, un poste qui
progresse de 1,8 milliard d'euros. Suivent la justice (1.615 créations
de postes, 6,52 milliards de crédits) et l'Education nationale (59,26
milliards de crédits à la mission "enseignement scolaire"), bien que ce
ministère perde 11.200 postes.
Le PLF inclut
le non remplacement de quelque 22.900 postes de fonctionnaires partant
à la retraite (sur environ 69.000), une économie évaluée à 458 millions
d'euros pour 2008, et une baisse du nombre des "emplois aidés", qui
passent de 260.000 à 230.000.
Côté recettes,
les contribuables auront la possibilité d'opter pour un prélèvement
libératoire forfaitaire de 16% sur les dividendes d'actions, qui
rapportera 600 millions d'euros.
Le PLF 2008
est bâti sur une hypothèse de croissance comprise entre 2% et 2,5%, la
même qu'en 2007. Une hypothèse "légitime" comparée aux prévisions du
FMI (2,4%), de la Commission européenne (2,3%) et de l'OCDE (2,2%), a
insisté la ministre de l'Economie Christine Lagarde.
Le
gouvernement a dévoilé mercredi son budget 2008, le premier du
quinquennat, sans pouvoir faire mieux que de stabiliser les déficits en
raison du coûteux paquet fiscal voulu cet été par le président Nicolas
Sarkozy.
Le projet de loi de finances (PLF)
2008 présenté en Conseil des ministres prévoit un déficit de l'Etat de
41,7 milliards d'euros, en très légère amélioration seulement par
rapport à celui programmé par la loi de finances 2007 (41,996
milliards).
"On est en légère réduction, ça
veut dire qu'on n'est pas loin de la stabilité", a reconnu le ministre
du Budget, Eric Woerth, en saluant "un budget d'investissement et
d'avenir".
Quant à la dette, l'objectif du gouvernement est de la ramener à 64,0% du PIB en 2008, après 64,2% prévu en 2007.
Le
déficit public (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales), qui
constitue lui aussi l'une des principales références de l'Union
européenne pour évaluer la gestion des Etats-membres, est évalué à 2,3%
du PIB en 2008 après 2,4% prévu en 2007, et 2,5% en 2006.
Selon
M. Woerth, le surcroît de recettes fiscales attendues l'an prochain,
environ 18 milliards d'euros, sera "investi massivement dans la baisse
des prélèvements", à hauteur des deux tiers, afin de baisser de 0,3
point le taux de prélèvements obligatoires, à 43,7% du PIB.
Le
coût global du "paquet fiscal" voté cet été est évalué à lui seul à 8,9
milliards d'euros, dont 5,1 milliards pour l'exonération de cotisations
sociales des heures supplémentaires.
L'élargissement
du crédit impôt recherche se traduira par un coût de 800 millions l'an
prochain. Le coût de l'abaissement du plafond de la taxe
professionnelle, qui prend son plein effet l'an prochain, est évalué à
2,9 milliards d'euros.
Au total, les dépenses de l'Etat se montent à 271,8 milliards d'euros.
M.
Woerth a défendu "un effort très supérieur en termes de maîtrise des
dépenses publiques" pour l'an prochain, rappelant qu'elles
n'augmenteraient pas plus que le rythme de l'inflation (1,6%), soit
d'environ 5,5 milliards d'euros.
Selon lui, la
quasi intégralité de cette marge de manoeuvre sera selon lui absorbée
par les pensions (2 milliards supplémentaires), la charge des intérêts
de la dette (1,6 milliard supplémentaire) et divers dispositifs sociaux
gérés par la Sécurité sociale (1,2 milliard).
Le
reste des dépenses connaît une progression "zéro" en valeur, soit un
montant identique par rapport à 2007, a affirmé M. Woerth, selon qui il
a fallu "beaucoup de redéploiements pour permettre de financer quelques
priorités".
La première d'entre elles est,
comme annoncé, l'enseignement supérieur et la recherche, un poste qui
progresse de 1,8 milliard d'euros. Suivent la justice (1.615 créations
de postes, 6,52 milliards de crédits) et l'Education nationale (59,26
milliards de crédits à la mission "enseignement scolaire"), bien que ce
ministère perde 11.200 postes.
Le PLF inclut
le non remplacement de quelque 22.900 postes de fonctionnaires partant
à la retraite (sur environ 69.000), une économie évaluée à 458 millions
d'euros pour 2008, et une baisse du nombre des "emplois aidés", qui
passent de 260.000 à 230.000.
Côté recettes,
les contribuables auront la possibilité d'opter pour un prélèvement
libératoire forfaitaire de 16% sur les dividendes d'actions, qui
rapportera 600 millions d'euros.
Le PLF 2008
est bâti sur une hypothèse de croissance comprise entre 2% et 2,5%, la
même qu'en 2007. Une hypothèse "légitime" comparée aux prévisions du
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Mar 9 Déc - 20:48 par fuseau
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Mar 2 Déc - 15:09 par fuseau
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Mar 2 Déc - 15:08 par fuseau
» parCeasksef
Lun 1 Aoû - 0:18 par Invité
» comment éviter d'etre cocufié dans le couple??la solution
Sam 9 Juil - 22:19 par montanaalicia
» comment ne pas etre victime de l'infidélité?
Mer 19 Jan - 17:35 par montanaalicia
» votre partenaire a un comportement douteux?venez en savoir
Mer 19 Jan - 17:33 par montanaalicia
» Joué à World Of Warcraft gratuitement.
Dim 26 Déc - 18:09 par blind34
» Peintures d'apres photos comme cadeaux uniques
Mer 24 Nov - 18:06 par taja609
» [WOW]BackDown 3.3.3[WOW]
Jeu 24 Juin - 14:27 par nothernlight